Madame la Bourgmestre faisant fonction,
Des recrutements et des promotions étaient prévus dans le cadre du budget 2014 avec l’arrivée de 32 sapeurs-pompiers, 2 sous-lieutenants, 4 employés d’administration et un technicien.
Un appel à candidature a eu lieu le 26 février 2015 et la procédure d’inscription devait être clôturée pour le 16 mars 2015 au plus tard. Les examens et test ont eu lieu. Les personnes qui ont participé à ces épreuves sont en attente d’une réponse depuis plusieurs mois.
Pourriez-vous me dire quand le Collège procédera aux engagements de ces 32 sapeurs-pompiers et quand les pompiers qui sont dans les conditions pourront accéder à leur promotion ? Pensez-vous que cet engagement pourra encore se faire avant la mise en place de la zone de secours ?
Je vous remercie d’avance pour votre réponse.
Mohamed Kadim
Réponse de la Bourgmestre faisant fonction et du DG Christophe Ernotte
Afin de déterminer les moyens financiers, matériels et humains nécessaires au bon fonctionnement de la future zone de secours Hainaut Est, le Conseil de Pré- zone, a informé l’échevine Deléguée, F. Daspremont, a financé une étude réalisée par la Comase. Aujourd’hui, la juxtaposition de ces constats et analyses permettent à la Comase de donner des orientations plus ou moins générales sur la gestion et l’organisation de la prochaine zone Hainaut Est; par contre, il n’est pas encore possible, à ce jour, de fixer, de manière précise, le nombre de recrutements et de promotions à venir au sein de celle-ci. Quelques demaines, voire quelques mois seront encore nécessaires avant de pouvoir prendre une décision en toute objectivité. Mais, dans l’attente, les personnes ayant réussi les épreuves de recrutement seront versées dans une réserve de recrutement, selon la réglementation en vigueur » a ajouté l’édile.
Mais quid alors de l’organigramme repris M. Kadim?
L’intérêt de l’étude de la Comase, a ajouté le DG, Christophe Ernotte, est d’objectiver totalement, au départ de données précises du SRI, les besoins et les missions effectuées. Cela nous oblige, conséquemment, à revoir la distribution de l’organigramme, de certaines pratiques ou dégagement de personnel, à la hausse ou à la baisse.
Affaire à suivre
Mohamed Kadim